La 11ème édition de la convention d’affaires Techinnov qui s’est déroulée le 23 février dernier à Paris-Orly a remporté un franc succès. Les équipes de la direction commerciale et de l’ingénierie de projets de CTIF y ont participé.  Retour sur une édition dynamique.
(crédit photo CCI Essonne)

Plus de 10 000 rendez-vous d’affaires en une journée

Avec plus de 1 600 participants, 914 structures représentées (vs 757 en 2016) et près de 10 300 rendez-vous individuels programmés sur la journée (+25 % par rapport à 2016), le salon s’affirme comme le haut lieu des rendez-vous d’affaires dédiés à l’innovation. Au total, 382 PME preneurs d’ordre, 167 donneurs d’ordre, 214 start-ups, 60 structures de recherche publiques et privées, 52 investisseurs et 39 structures partenaires ont pu se rencontrer, échanger et donner un coup d’accélérateur à leurs projets. L’équipe commerciale de CTIF a participé aux rendez-vous d’affaires où d’excellents contacts ont été pris.

Un beau succès pour la CCI Essonne, organisateur de l’événement et ses partenaires. Une réussite que souligne Jean-Claude Chabin, président de Techinnov « Le succès de la manifestation nous rappelle chaque année une évidence : Techinnov répond à un véritable besoin pour le développement économique pour le territoire. »

Succès pour les tables rondes

Dans le village thématique  « Fabrication additive et nouveaux composites » différentes tables rondes étaient organisées.  Sur celle qui avait pour thème « De l’idée à la production de masse », les trois orateurs suivants sont intervenus :

• Patrick Hairy, ingénieur projets à CTIF a présenté les apports de CTIF en métallurgie et post processing en fabrication additive.
• Arsène Becker, responsable achats et matières chez Dassault Aviation a parlé des applications de la fabrication additive au sein du groupe.
• Philippe Vannerot PDG de 3A a expliqué comment les pièces aéronautiques en fabrication additive sont réalisées.

Cette table ronde a rassemblé près de 50 personnes et de nombreuses questions sur le contrôle des pièces, les difficultés techniques rencontrées en fabrication ou la concurrence par rapport aux procédés classiques de fabrication ont émaillé les débats.

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