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ICOE : parlons pièces de fonderie pour les Energies Marines, du 12 au 14 juin 2018, Cherbourg

Les équipes de CTIF seront présentes à ICOE (stand D442), International Conference on Ocean Energy qui se tiendra à Cherbourg du 12 au 14 juin 2018, pour présenter notamment sa nouvelle offre Cast For Energy pour les marchés des industries EMR, nucléaire et navale, suite à  la signature d’un accord de collaboration entre le Groupe CIF et CTIF.

Le Groupe CIF, à travers sa filiale Ferry-Capitain  – société spécialisée en fabrication de pièces de fonderie usinées de grandes dimensions (jusqu’à 140 tonnes)  – et CTIF – centre technique industriel expert en métallurgie et transformation des métaux (fonderie, fabrication additive métallique, affinage, recyclage…) – joignent leurs compétences et leurs moyens pour construire une offre coordonnée pour répondre de manière innovante aux besoins et exigences des filières Énergies Marines Renouvelables (éolien, hydrolien, énergie thermique des mers, houlomoteur, …), Nucléaire et Industries Navales.

La fonderie est un procédé innovant de mise en forme des matériaux métalliques dès lors que l’on considère la chaîne numérique comme vecteur de performance. Au travers de l’offre Cast For Energy qui utilise l’outil numérique sur toute la chaîne de valeur ; depuis la conception, la simulation, la fabrication jusqu’à l’usinage, Ferry-Capitain et CTIF offrent une alternative aux solutions mécanosoudées existantes dans le but de contribuer à abaisser le prix du KWh produit.

En mettant en œuvre des alliages réalisés par voie de fonderie (fontes de nouvelle génération et aciers adaptés), les donneurs d’ordres peuvent dès lors trouver des solutions pour notamment résister à la fatigue mécanique ainsi qu’aux problématiques de corrosion.

Afin d’apporter des solutions alternatives innovantes aux industriels, Ferry-Capitain et CTIF ont signé un accord de collaboration qui prévoit le lancement de plusieurs projets qui seront dévoilés dans les mois à venir. Cet accord inclut en particulier la mise en commun de l’expertise et des moyens de Ferry-Capitain en pièces de fonderie usinées de grandes dimensions et de CTIF en métallurgie, conception/simulation produit/process et formation.

Plus d’informations sur cette rencontre : cliquez ici
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Les drones civils, un marché en plein essor

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La ville de Shenzhen est en phase de devenir le premier acteur mondial en matière de fabrication de drones civils. Elle concentre 70% du marché mondial avec plus de 300 fabricants, dont les sociétés DJI et Parrot, leaders dans ce secteur.

En décembre 2015, plus de 400 entreprises chinoises spécialisées dans la fabrication de drones civils avaient été recensées en Chine, dont le quart spécialisé dans le domaine agricole. Les drones agricoles permettent d’identifier et analyser les parcelles de terre qui demandent une attention particulière, pour affiner la fertilisation par la détection des carences nutritives, optimiser l’apport de pesticides, contrôler l’irrigation des cultures et estimer les rendements agricoles. Toutes ces données sont obtenues grâce à des capteurs multi spectraux et d’ensoleillement installés sur les drones.

La 5th Shenzhen ITS & LBS Expo qui s’est tenue du 17 au 19 juin derniers a été l’occasion de montrer les progrès réalisés dans le domaine des drones civils. Environ 110 constructeurs de drones s’y sont rassemblés pour présenter plus de 230 nouveaux modèles dont des drones de loisir, photographie, vidéo, solutions de cartographie 3D, et même des drones dirigeables.

Les drones civils ont généré un chiffre d’affaires de plus de 20 Mds RMB (2,7 Mds EUR) en Chine sur l’année 2015. Selon la société de conseil iResearch Consulting Group, le marché des drones civils en Chine pèserait plus de 75 Mds RMB (10 Mds EUR) dans les dix prochaines années. D’ici 2025, les drones seront de plus en plus utilisés notamment pour de la photographie aérienne et la protection des forêts.

[France Diplomatie, 11/07/2016]

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Construction : l’Inde n°1, les USA tiennent bon, l’Italie se redresse

L’Inde est le nouveau marché moteur de l’industrie mondiale de la construction. En 2015, le leadership en Asie a changé de mains après la chute des investissements chinois dans ce secteur. L’Inde aura enregistré une croissance de 5,3 % contre 4 % pour la Chine.

Les résultats du SaMoTer-Verona Outlook pour 2015 mettent en évidence une légère reprise du marché nord-américain (+2,5 %), de l’Europe de l’ouest (+ 1,1 %) et du Japon (+ 0,6 %) ainsi que la poursuite de la récession en Amérique latine (-2,6 %) et en Europe de l’est (-0,7 %). Au cours des 15 dernières années, le centre de gravité du marché mondial de la construction a progressivement évolué vers l’est. Inde et Chine concentrent 43 % des investissements.

La tendance positive observée en Amérique du Nord s’est poursuivie début 2016 avec une augmentation de 10,8 % de la construction tertiaire et une progression de 14,9 % des travaux routiers. Pour sa part, l’Europe a connu une forte reprise des investissements en Allemagne (+2,3 %), une légère amélioration en France (+0,4 %) et une baisse subtile au Royaume-Uni (-0,5 %) et en Espagne (-0,2 %).

Sur le marché italien, le chiffre d’affaires de la construction dépasse les 135 milliards d’euros mais affiche un repli de 0,5 % au premier trimestre 2016. Une baisse légère qui ne devrait pas affecter la reprise globale observée en 2015. De sorte que 2016 devrait s’achever sur une croissance de 1,6 % et de 1,9 % en 2017. L’amélioration sensible du marché est à mettre sur le compte de la reprise du marché de la rénovation (57,6 milliards d’euros en 2015 soit +2 % par rapport à 2014) et l’embellie dans les travaux publics où les investissements progressent de 2,7 % en 2016 et sont estimés à +4,2 % en 2017.

[BTP Magazine, 17/06/2016]

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Etude mondiale sur la production et la consommation de machines-outils

Etude mondiale sur la production et la consommation de machines-outils

Etude mondiale sur la production et la consommation de machines-outils

La consommation mondiale de machines-outils est passée avec des hauts et des bas de plus de 45 milliards de dollars US en 1981 à 75,5 milliards net de dollars US en 2014 et environ 75,1 milliards net de dollars US en 2015 en valeur. En 2015, le plus gros consommateur devait rester la Chine avec environ 28,6 milliards de dollars puis les Etats-Unis avec 10,4 milliards de dollars et enfin l’Allemagne avec 6,2 milliards de dollars US. Si la consommation mondiale a connu un boom de 2003 à 2011, et ce malgré la crise de 2009, elle s’est contractée depuis sauf en 2014. Ce déclin est dû principalement (à hauteur de 60 %) à la baisse de consommation du continent asiatique, notamment de la Chine de 33 % depuis 2011 ainsi que de la Corée du Sud de Taïwan de l’Inde de la Thaïlande et de la Malaisie et de l’Allemagne. En conclusion, la consommation a diminué en Asie, est restée stable en Europe (car malgré le déclin en Allemagne, la consommation des autres pays européens a progressé) et a augmenté en Amérique du Nord principalement en raison de la hausse de la consommation mexicaine.

[Etude Gardner Research, 2016]

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Contact : Christine Colliard

L’industrie française des constructions navales en 2014-2015

Selon le Cluster Maritime Français, l’industrie française des constructions, des réparations navales et des équipementiers marins pesait 8,5 milliards d’euros en 2014 et représentait 42 000 emplois directs. Elle est positionnée sur les navires et équipements à forte valeur ajoutée et se situait en 2015 au 6ème rang mondial et au 2ème rang européen du marché global civil et militaire.

[Cluster Maritime Français, 2016]

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L’industrie parapétrolière et para-gazière offshore française en 2014-2015

Le secteur de l’industrie parapétrolière offshore français est leader mondial, et se classe 2ème exportateur (plus de 90 % à l’export) des services de support à l’extraction offshore à égalité avec la Norvège et le Royaume-Uni. Le chiffre d’affaires est passé de 3,5 milliards d’euros à la fin des années 90 à environ 17,55 milliards d’euros en 2014. À lui seul le secteur représente plus du quart de la valeur de production de l’économie maritime qui s’élevait à 69,1 milliards d’euros en 2015. Dans les années à venir, ce sont les développements en offshore profond et ultra-profond qui devraient représenter l’essentiel de la croissance de la production pétrolière et gazière en mer.

[Cluster Maritime Français, 05/2016]

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Prospective sur l’aéronautique commerciale mondiale selon Deloitte

Selon le cabinet Deloitte le trafic aérien enregistre une hausse continue du nombre de passagers, notamment au Moyen-Orient et dans la région Asie-Pacifique (Chine, Inde). Au cours des vingt prochaines années, la demande de voyage aérien devrait croître de 5 % par an. Au cours des dix prochaines années, la production d’avions commerciaux devrait afficher une progression prononcée d’environ 20 %. Le trafic va stimuler la croissance de ce secteur à hauteur de 6 % par an pendant vingt ans et mettre en tension les opérateurs et leurs sous-traitants, qui devront être en mesure de livrer un nombre accru d’appareils, entre 31 000 et 34 300 avions (hors jets régionaux) dont les appareils obsolètes qui devront être remplacés par des modèles plus économes en carburant.

[Deloitte, 06/2015]

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La géothermie parisienne pour chauffer les riverains

MARCHES CLIENTS

Les grandes agglomérations capitalisent sur la géothermie : le développement de la ZAC des Batignolles à Paris qui est en train de devenir un éco quartier de référence en est un bel exemple. Pour produire de la chaleur, le projet exploite les calories de la nappe de l’Albien qui est à 28 °C quelle que soit la saison. Ainsi, Eau de Paris va puiser la chaleur pour l’utiliser pour chauffer les immeubles environnants. Le projet nécessite la pose d’un millier de mètres de canalisations en fonte calorifugée.

[BTP Magazine, 03/2016]

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Consommation d’énergie en France

MARCHES CLIENTS

En 2014, sur un total de 256,5 Mtep de consommation d’énergie primaire, 9,4 % sont issus de sources renouvelables. Les énergies renouvelables représentent ainsi la quatrième source d’énergie dans la consommation d’énergie primaire, après l’électricité primaire non renouvelable (principalement le nucléaire), les produits pétroliers et le gaz naturel. Entre 2013 et 2014, la consommation d’énergie primaire renouvelable corrigée des variations climatiques reste quasi stable après une progression de 1,9 Mtep entre 2012 et 2013. En valeur relative, la part des énergies renouvelables dans le bouquet énergétique n’a pas évolué en 2014. Celle-ci n’avait cessé de progresser entre 2011 et 2013, passant de 7,5 % à 9,4 %.

En 2014, la production primaire d’énergies renouvelables s’élève à 22,4 Mtep. Les principales filières restent le bois-énergie (39,0 %), l’hydraulique (23,6 %), les biocarburants (11,6 %) et les pompes à chaleur (6,8 %).

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Entre 2013 et 2014, la production primaire d’énergies renouvelables diminue de 1,8 Mtep (soit – 7,5 %). Ce recul de la production primaire s’explique par des conditions climatiques exceptionnelles. En effet, 2014 est l’année la plus chaude depuis le début des relevés en 1900, selon les données de Météo France, d’où une nette baisse de la production de bois énergie et d’électricité hydraulique notamment. Le contraste est important avec 2013 qui avait été une année exceptionnelle pour la production hydraulique. La production primaire d’énergies renouvelables évolue de façon heurtée. En effet, elle est tributaire du niveau de pluviométrie ainsi que des températures hivernales qui influent sur la production des deux principales filières que sont l’hydraulique et le bois-énergie.

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En 2014, la production brute d’électricité renouvelable s’élève à 89,9 TWh. Les principales filières produisant de l’électricité sont l’hydraulique, avec 68 % de la production brute, et l’éolien (19 %). En 2014, la production brute d’électricité renouvelable baisse de 6,5 TWh, soit de 6,7 %. Cette baisse s’explique presque totalement par la production brute d’électricité hydraulique, qui a diminué de 9,0 TWh en 2014, après une année 2013 exceptionnelle. Elle est partiellement compensée par la hausse de la production dans la plupart des autres filières, notamment l’éolien et le solaire photovoltaïque.

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[Commissariat Général au Développement durable, 12/2015]

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Contact : Christine Colliard

Construction navale : l’Europe et le Japon progressent dans un marché mondial en recul

MARCHES CLIENTS

Alors que la Chine, la Corée et le Brésil payent lourdement le retournement du marché sur les vraquiers et l’offshore pétrolier, l’Europe et le Japon ont signé en 2015 leurs meilleures performances de la décennie.

Une fois n’est pas coutume, c’est le Vieux Continent européen et le Japon qui brillent quand l’étoile de la Chine et de la Corée pâlit sensiblement durant l’année 2015. Début 2016, le carnet de commandes des 28 pays membres de l’Union européenne avait progressé de 7 % en un an. À l’arrivée, 15 nouvelles commandes de paquebots de croisière tombées dans  l’escarcelle des chantiers européens mais aussi un retour en force de la construction navale espagnole et croate.

Le succès du Japon est encore plus spectaculaire. Ses 74 chantiers navals ont pris 22 millions de tonneaux de commandes en 2015, ce qui correspond à 424 navires. Une progression de 45 % par rapport à 2014 et tout simplement la meilleure performance des constructeurs japonais depuis 2007. Tombée au plus bas en 2011 avec seulement 111 navires commandés pour 5 millions de tonneaux de jauge brute, la construction navale nippone poursuit son singulier redressement entrepris à partir de 2012.

L’expertise technique des constructeurs nippons, la puissance des armements nationaux et des liens anciens constamment entretenus avec les armateurs européens, à commencer par les fidèles clients grecs…Tous ces facteurs expliquent que le Japon reste solidement accroché à son 3e rang mondial de constructeur de navires marchands, en dépit de salaires plutôt élevés. Et même si la commande des vraquiers s’écroule à l’échelle mondiale, les  Japonais rebondissent aussitôt sur les pétroliers et gaziers, où la tendance est inverse : on recense 115 prises de commande en 2015 sur ces navires citernes, contre 44 en 2014. Imabari, Tsuneihi, Oshima, JMU… Ces grands noms de la construction navale japonaise ont pris 258 commandes de vraquiers en 2015, soit quasiment le même niveau qu’en 2014 (265).

Dans le creux de la vague, la Chine, la Corée et le Brésil. Ces pays prennent de plein fouet le recul de 40 % des commandes de navires en 2015 – jusqu’à 72 % pour l’offshore pétrolier et gazier, selon les décomptes du courtier britannique Clarkson.

Exprimées en tonnes de port en lourd (soit la capacité de chargement des navires), les commandes des chantiers chinois ont reculé de 48 %, un chiffre confirmé par l’association nationale des constructeurs navals chinois, Cansi. Pour l’offshore, où les Chinois s’étaient engouffrés depuis 5 ans, le recul est encore plus sévère : – 75.5 % ! « Le niveau d’activité  actuelle de la construction navale chinoise se situe à moins de 70 % de ses capacités », confirme l’association.

Dans les faits, au 1er janvier 2016, on ne recense plus que 188 chantiers navals en Chine ayant au moins un navire à livrer. Au début de la décennie, on en recensait plus de 1 500…

En Corée, les trois grands constructeurs – Hyundai, Samsung et Daewoo – ont tous achevé l’année 2015 sur de lourdes pertes financières : 1 milliard d’euros pour Huyndai et 895 millions pour Samsung.

Les Coréens payent lourdement leur implication dans l’offshore avec la multiplication des annulations de contrats sur les navires de forage.

Mais le pire est ailleurs : le Brésil subit la double peine de la baisse du prix du pétrole et du scandale de corruption de la compagnie nationale Petrobras, qui se traduit par des annulations en masse de commandes antérieures. La jeune construction navale brésilienne, édifiée sur des barrières protectionnistes, a déjà perdu 18 000 emplois en 2015.

Les 3,5 millions de tonneaux du carnet de commandes brésilien, lié à plus de 90 % au pétrole, pourraient très bien se réduire à 130 000 tonneaux si toutes les annulations se confirment. La bulle brésilienne est sur le point d’éclater.

[Le Marin, 06/02/2016]

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Contact : Christine Colliard

Pompes et compresseurs : un marché client en difficulté

MARCHES CLIENTS

Malgré le redressement de la demande domestique (marché automobile et investissements dans l’industrie), la production de pompes et compresseurs a chuté de 7,9% en 2015. Dans un secteur fortement tourné à l’international où les opérateurs réalisent plus de 70% de leur activité à l’export, les fabricants ont été particulièrement touchés par la perte de parts de marché dans les pays émergents. Ceux-ci constituent un vivier de croissance considérable (l’Asie représentait 37,5% du marché mondial des pompes en 2014). D’une part, l’industrialisation de ces pays est un moteur pour la demande de pompes et compresseurs, d’autre part, le développement des infrastructures d’assainissement est une potentielle manne pour les spécialistes des pompes à fluides.

[Document CTIF, 03/2016]

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Contact : Christine Colliard

 

Les petits véhicules urbains gagnent des parts de marché en Europe, au Japon et en Inde

MARCHES CLIENTS

Selon une étude de 2015 les segments A (mini-citadines très compactes de faible longueur comme la Renault Twingo, la Peugeot 108, la Citroën C-Zero, la Fiat 500) et B (citadines polyvalentes ou « sous-compactes légèrement plus grandes que les véhicules du segment A comme la Peugeot 208, la Renault Clio, la Citroën DS3, la Toyota Yaris) gagnent des parts de marché en Europe, au Japon et en Inde et ce, qu’ils soient thermiques ou électriques ou hybrides. Près de 41 % des véhicules vendus en Europe en 2013 relevait des segments A et B. (le segment C est celui des véhicules compacts, le segment D celui des familiales et les segments H celui des routières et berlines de luxe). Un nouveau segment appelé Sub-A ou segment des micro cars entre les quadricycles (petits véhicules à quatre roues qui peuvent suivant leur puissance être conduits sans permis) et le segment A est en train d’émerger.

[IFPEN, 2015]

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Contact : Christine Colliard