Dans un contexte général très morose, l’activité de la fonderie française n’a baissé que de 8 à 10 % en 2020. La situation n’est pas vraiment catastrophique, mais certaines de nos entreprises sont tout de même, pour reprendre une expression actuelle, sous ‘respiration artificielle’. Afin d’accroître les capacités et la productivité des entreprises de métallurgie et renforcer leur compétitivité, on peut par exemple intégrer des moyens d’impression 3D de moules en sable ou de pièces métalliques et ce, même dans une PME, quitte à les partager avec des confrères. Pour accompagner techniquement le mouvement, le CTIF a récemment signé (le 28 janvier 2021) un accord de partenariat technologique avec l’Institut Maupertuis, centre de ressources technologiques (CRT) basé à Rennes et qui développe des process industriels novateurs puis en assure le transfert aux entreprises par des études techniques, des qualifications sur produit et du prototypage.

Par ailleurs, si la fonderie automobile est aujourd’hui largement robotisée, le secteur redouble d’efforts pour se projeter dans l’Usine du futur. La France s’efforce de constituer une véritable filière de recyclage des métaux.

Article complet paru dans Usine Nouvelle, N° 3693, Avril 2021 à découvrir ici !